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01-06-08 / 00:09 : Banques de samples / licence : scandale ? (cjed) | Certaines sociétés comme BestService seraient prêtes à quelques arrangements concernant leurs licences restrictives, en cas de volonté de revendre une de leurs bibliothèques de samples. A la base cela n'est pas permis, ou les sociétés l'autorisant s'assurent de demander des frais de transfert de licence dissuasifs.
Donc avec un produit comme Synthogy Italian Grand (et bien d'autres), la seule liberté est de le supprimer du disque (pour au moins regagner de l'espace). Non seulement un logiciel ne peut être retourné (y compris en VPC), mais il est impossible de l'essayer même en magasin (taille trop grande des bibliothèques de samples, et sont trop nombreuses - heureusement ce n'est pas le cas avec les plugins d'émulation, qui permettent le téléchargement de versions de démo), mais l'acheteur n'a aucun recours.
Comme on le lit très justement sur cette thread d'ailleurs, l'achat d'un instrument matériel (synthé, expandeur, etc.) permet de conserver une valeur, et donc d'accéder plus tard à du matériel plus puissant (plus cher) sans avoir à trop (tout) dépenser à nouveau, via la revente du précédent (c'est d'ailleurs ce qui m'a permis de passer du PSS270 au D20). Pour reprendre l'image proposée, les banques de samples seraient donc aux instruments ce que le permis de conduire est à une voiture.
Depuis que Roland semble à nouveau dans la course à la qualité avec ses nouveaux Fantom G et RD-GX (convertisseurs apparemment de nouveau convenables, après 10 ans d'errance et d'économies mal pensées), et sa carte SRX-12 Electric Piano, le hardware pourrait bien revenir en force. | | Commentaires | Poster un commentaire | |
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