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| 19-10-11 / 23:56 : Dernier hommage / pensées / tendance (cjed) |
| L'hommage à Steve Jobs d'aujourd'hui, en plus de se dérouler sur le campus d'Apple (et dans les Apple Store, fermés), présente une liste de messages mise à jour automatiquement, à partir des emails envoyés à rememberingsteve@apple.com (environ un nouveau affiché toutes les 5s). Les CSS transform et transitions sont utilisées, avec des scripts de chemin /stevejobs/scripts/util/UTIL.js et stevejobs/scripts/message.js (récupération des messages via requête Ajax), et css de chemin /stevejobs/styles/messages-webkit.css, /stevejobs/styles/messages-moz.css et stevejobs/styles/messages-ie.css. Cette forme de transfert, sans doute nécessaire en ces temps de crise et de perte de repères (conséquences de 2001), ne devrait pas conduire à des réactions peu élégantes comme on a pu le voir. Cet article de cimgf, Why so serious, note d'ailleurs cette tendance : More recently, perhaps within the last year, there has been a disturbing trend in the community. Surprisingly, sadly, this trend has not come from the new developers but from some of the older grey beards. There has been a trend to “piss on” things written by other developers. A new app comes out, good or bad, and the claws come out. People are quick to blast it; the more press it gets, the more it gets blasted. On préfèrera découvrir (ou relire) le discours de Steve Jobs de 2005 pour le commencement à l'université de Stanford (vidéo également disponible ici), notamment : My third story is about death. Remembering that I'll be dead soon is the most important tool I've ever encountered to help me make the big choices in life. Because almost everything — all external expectations, all pride, all fear of embarrassment or failure - these things just fall away in the face of death, leaving only what is truly important. Remembering that you are going to die is the best way I know to avoid the trap of thinking you have something to lose. You are already naked. There is no reason not to follow your heart. Ou alors, comme dans le célèbre Ubik de Philip K. Dick : Je suis vivant et vous êtes mort. D'ailleurs on apprend que Steve Jobs travaillait encore à un projet futur la veille de sa disparition. Et dans son message d'annonce de son départ d'Apple, seule une phrase, la première, fournissait un indice, de manière la plus élégante possible : Unfortunately the day has come. |
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